Qui est Maria Valtorta?

Dans le domaine des révélations surnaturelles, comme dans celui des arts ou des objets de qualité, il y a des pièces authentiques comme il y a des faux. Mais notre intelligence dispose d’outils et de repères précis qui peuvent justement nous permettre de distinguer le vrai du faux. Il nous suffit donc de les utiliser en mettant à contribution toutes nos facultés et nos capacités de discernement, plutôt que de laisser notre esprit s’atrophier dans le vase clos d’un scepticisme stérile.

Le choix d’une telle ouverture, empreinte de prudence, est d’ailleurs d’autant plus crucial qu’il existe spécifiquement des révélations fiables à l’intérieur desquelles des indications précises ont été données sur les origines de l’homme et sur les failles de la présente théorie évolutionniste. En effet, dans certaines révélations, Dieu s’est en quelque sorte prononcé clairement sur l’hypothèse évolutionniste, en donnant même aux êtres humains des précisions intéressantes sur les origines de l’humanité. Il serait donc déraisonnable de les ignorer .

Maria Valtorta

Parmi ces révélations, il y en a même une qui comporte des indications particulièrement claires à ce sujet, et à laquelle j’aurai l’occasion de référer régulièrement dans Les Lois de l’Univers divin. En effet, les enseignements qui en découlent nous fourniront, grâce à leur richesse, des points de repère précieux pour situer nos origines. Il s’agit des révélations qui ont été faites à Maria Valtorta, mystique exceptionnelle sur laquelle il vaut la peine de s’arrêter un peu.

Née à Caserte, en Italie, le 14 mars 1897, et décédée le 12 octobre 1961, cette visionnaire chrétienne fut gratifiée de révélations d’une ampleur peu commune si on les compare à celles des siècles passés. Et ces révélations continueront sans aucun doute d’exercer une influence considérable au cours des siècles à venir.

Femme d’une grande générosité et d’une profonde sensibilité spirituelle, Maria Valtorta offrit sa vie totalement à Dieu le 1er juillet 1931, en compensation pour les péchés des hommes. Sa santé se détériora alors progressivement jusqu’en 1934 où elle dut garder définitivement le lit. Le 23 avril 1943, alors que Maria, infirme depuis neuf ans, se préparait à une mort prochaine, elle entendit une voix qui lui dicta une page d’enseignements divins. à partir de ce moment, elle reçut sous la dictée de Jésus, son principal interlocuteur, d’autres textes, presque chaque jour jusqu’en 1947, et de façon discontinue jusqu’en 1951.

Elle rédigea ainsi une oeuvre principale, Le Poème de l’Homme-Dieu, publiée en français en dix volumes sous le titre l’Évangile tel qu’il m’a été révélé, qui raconte la naissance et l’enfance de la Vierge Marie, celles de son Fils, Jésus, suivies des trois années de sa vie publique, incluant sa Passion, sa mort, sa Résurrection et son Ascension, sans compter une description des origines de l’Église et de l’Assomption de Marie.

Maria rédigea aussi cinq ouvrages complémentaires, soit Les Cahiers de 1943, Les Cahiers de 1944, Les Cahiers de 1945 à 1950, Le Livre d’Azarias et Leçons sur l’Épître de Saint Paul aux Romains dans lesquels nous retrouvons divers enseignements sur des thèmes ascétiques, bibliques, doctrinaux et autobiographiques, des descriptions variées de scènes de l’Évangile et du martyr des premiers chrétiens et, bien sûr, volet qui nous concerne ici particulièrement, des commentaires sur les origines de l’humanité de même que sur la vie de nos premiers parents.

Authenticité de l’Œuvre

Quant à l’authenticité de l’oeuvre, les points qui militent en sa faveur sont si nombreux que même les plus sceptiques auraient de la difficulté à monter un arsenal le moindrement crédible pour les contrer d’une manière raisonnable.

Maria Valtorta remplit 122 cahiers, soit environ 15,000 pages manuscrites, d’un seul jet, sans révisions ni ratures, et sans savoir d’un jour à l’autre ce qu’elle allait écrire, en étant affectée par plusieurs maladies qui, selon les médecins, auraient dû la rendre totalement incapable d’accomplir cette tâche, si ce n’est que, selon les constatations scientifiques, elle aurait dû normalement être morte. La réalisation de l’oeuvre semble donc être bel et bien le résultat d’un miracle soutenu qui s’étala sur plusieurs années.

Fidèle à ce que lui transmettait son divin Interlocuteur, la malade n’écrivait d’ailleurs que ce qui lui était donné, à l.instant même où cela lui était dicté. S’il y avait interruption, elle cessait donc d’écrire et ne reprenait que lorsque les enseignements ou visions reprenaient. Jésus lui souligna même, à un certain moment, l’importance d’être attentive à chaque virgule, la moindre altération pouvant affecter de façon significative le sens des enseignements qui lui étaient transmis.

Quant aux descriptions de la visionnaire, elles démontrent une connaissance absolument stupéfiante de la végétation, des coutumes, de la topographie et même du plan de certaines villes de l’époque, toutes données qui lui étaient totalement inconnues et inaccessibles: Maria est au milieu de chaque scène, elle voit, elle entend, elle sent les parfums, la température, se retourne pour voir arriver d’autres personnages, etc. Elle décrivit même avec précision, en 1945, le site de la ville de Jeshua (Gerasa) telle qu’elle était à l’époque de Jésus, alors que ce n’est qu’à partir de 1982 que l’on entreprit de mettre à jour les vestiges de cette agglomération, et que l’on put confirmer l’étonnante exactitude de sa description. (…)

Mais ces preuves d’authenticité sur lesquelles je pourrais élaborer longuement, et qui sont de nature plus extrinsèque, sont aussi appuyées par des preuves intrinsèques qui ne doivent pas être négligées. En effet, les révélations inauthentiques laissent toujours filtrer, de quelque manière que ce soit, des indices qui révèlent leur origine humaine ou même occulte, en commençant le plus souvent par afficher, sous des dehors flamboyants, une piètre qualité sur le plan spirituel. Or, les enseignements transmis à travers les écrits de Maria Valtorta ne dégagent absolument rien de tel. Présentés dans une forme littéraire d’une grande qualité en même temps que d’une grande simplicité, ils ont la propriété d’être extrêmement substantiels pour ceux qui choisissent d’y puiser pour nourrir la vie de leur âme.

Maria Valtorta dans « Les Lois de l’Univers divin »

Durant notre parcours des « Lois de l’Univers divin », nous aurons l’occasion de puiser abondamment dans les écrits de Maria Valtorta pour éclairer notre réflexion. Aux riches enseignements de cette oeuvre d’une envergure exceptionnelle, s’ajouteront les dires de Jésus à travers d’autres révélations privées pour notre temps, qui revêtent un caractère d’authenticité et apportent un éclairage sur la question fondamentale qu’est celle de nos origines.

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